“Well, this is gay !”
Stuart Black revient poutrer le totalitarisme, et fait donc son 1984, mais il le fait avec tellement de majorettes, de danses et même de crabes géants, que le résultat est résolument unique.
Mais ce qu’il y a surtout de particulièrement jouissif, c’est son Docteur qui abat des utopies, et y découvre des monstres atroces et profiteurs.
Déjà le mal est moins un tas de crabes qu’un système. Mais même quand tout est beau, tout est propre, ce Docteur rejette chaque loi, même la plus insignifiante, et envoie chier toute autorité.
Ici il est moins l’homme qui stoppe les monstres qu’un magnifique agitateur politique, et même le porte-voix d’une génération en lutte.