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TARDIS Guide

Dogtor has submitted 46 reviews and received 43 likes

Review of The Aztecs by Dogtor

8 May 2025

But you can’t rewrite History ! Not one line !

Jacqueline Hill et William Hartnell ont une présence dingue, et portent au sommet le premier grand drame de la série.  Mais là aussi John Lucarotti surprend avec des petites touches qui dessinent des personnages complexes et touchants dans un monde pourtant grossièrement dessiné.

En fait, la grande force de The Aztecs c’est surtout qu’en défiant la vision très manichéenne et libérale de Barbara il lui offre un développement très touchant.

Or, là où l'épisode rencontre en même temps des limites vraiment intéressantes c'est que même si Lucarotti et Barbara voient le bien dans la société aztèque, ils excusent quand même la violence coloniale par la cruauté des sacrifices.

Dès lors, l’épisode a beau être puissant (et il l’est), son histoire est toujours celle des vainqueurs et non des vaincus.

But you can’t rewrite History ! Not one line !

Jacqueline Hill and William Hartnell have an incredible presence, and they elevate the series' first great drama to new heights. But here too, John Lucarotti surprises with subtle touches that paint complex and touching characters in an otherwise crudely drawn world.

In fact, the real strength of The Aztecs is that by challenging Barbara's very Manichean and liberal view, it offers her a very touching development.

However, where the episode simultaneously encounters really interesting limits is that even though Lucarotti and Barbara see the good in the Aztec society, they still excuse colonial violence by the cruelty of the sacrifices.

Therefore, even though the episode is powerful (and it is), its story remains that of the victors and not the vanquished.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


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Review of The Invasion by Dogtor

22 November 2024

This review contains spoilers!

“The very essence of business efficiency”

 

C’est daté et quand même assez génial. 

Sherwin écrit en effet un morceau d’action d’une précision remarquable, et avec une ambiance tout de suite assez unique. 

Mais surtout, ce qu’il comprend c’est que très souvent (tout le temps), c’est le système le problème. 

En effet, Londres attire encore des monstres et des vilains pas beaux, mais le pire d'entre eux ici reste un magnat capitaliste prêt à réduire l’humanité en cadavres de métal.

“The very essence of business efficiency”

 

It's dated and still quite brilliant.

Sherwin indeed writes a piece of action with remarkable precision, and with an immediately quite unique atmosphere.

But above all, what he understands is that very often (all the time), the system is the problem.

Indeed, London still attracts monsters and ugly villains, but the worst among them here remains a capitalist magnate ready to reduce humanity to metal corpses.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


Dogtor

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Review of The Mind Robber by Dogtor

22 November 2024

This review contains spoilers!

“You know he’s a fictional character”

 

Mes critiques sont de plus en plus courtes mais que dire sinon que Ling flippait, et que pourtant l’histoire qu’il écrit est aussi magique que décisive. 

En fait c’est vraiment une parenthèse certes fauchée (et un peu improvisée), mais quand même très avant gardiste dans ce tout qu’elle dit de la série  

Le Docteur est encore n’importe qui, et il peut donc être toutes les histoires possibles. 

Pourtant, avec le seul pouvoir de son imagination, il se bat pour ne pas être qu’une histoire.

“You know he’s a fictional character”

 

My reviews are getting shorter and shorter, but what is there to say other than Ling was scared, and yet the story he writes is as magical as it is crucial.

In fact, it's really a parenthesis, admittedly broke (and a bit improvised), but still very avant-garde in everything it says about the series.

The Doctor is still anyone, and thus he can be all possible stories.

Yet, with the sole power of his imagination, he fights to not be just one story.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


Dogtor

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Review of The Dominators by Dogtor

17 November 2024

“Just act stupid”

 

Quelle nullité. 

Il y a des bons moments mais c’est quand même surtout aux dépens du scénar’ désespérément sérieux et parce que rien - vraiment rien - ne va dans sa prod’.

Déjà on nous inflige des personnages atrocement idiots qui errent de carrières en carrières, mais il faut en plus que le propos politique soit juste digne d’un Obertone. 

On pourra alors me dire que beaucoup d’histoires de Doctor Who sont tout aussi bêtes, mais peu sont aussi bêtes que méchantes

"Just act stupid"

 

What a waste.

There are good moments but it’s mostly at the expense of the desperately serious script and because nothing - really nothing - works in its production.

We're already inflicted with atrociously stupid characters who wander from career to career, but on top of that, the political discourse is just worthy of an Obertone.

One could then tell me that many Doctor Who stories are just as silly, but few are as silly as they are nasty.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


Dogtor

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Review of The Wheel in Space by Dogtor

17 November 2024

“Logic, my dear Zoe, merely enables one to be wrong with authority.”

 

Un dernier faux pas pour la saison. 

On peut au moins louer la caractérisation de Zoé, mais le reste est tellement dispensable que même avec ses qualités, The Wheel in Space ne décolle pas vraiment. 

Ceci dit la première partie est particulièrement intéressante, car c’est du pur Hartnell, avec des personnages qui explorent un vaisseau et un développement intelligent. 

Mais j’aurais quand même presque aimé que l’histoire soit plus courte, plus intense, car ici ça traîne trop et pour rien.

“Logic, my dear Zoe, merely enables one to be wrong with authority.”

 

One last misstep for the season.

We can at least praise Zoe's characterization, but the rest is so dispensable that even with its qualities, The Wheel in Space never really takes off.

That said, the first part is particularly interesting because it's pure Hartnell, with characters exploring a spaceship and smart development.

But I would have almost preferred that the story be shorter, more intense, because here it drags too much and for no reason.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


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Review of Fury from the Deep by Dogtor

17 November 2024

This review contains spoilers!

“She can’t scream, sir.” 

 

Le pouls d’algues monstrueux hante une histoire somme toute très simple. 

Ici la mer est en effet vraiment effrayante, et quand elle se retourne contre l’Homme c’est presque très lovecraftien. Mais si l’histoire est quand même trop lente elle arrive à être malgré tout très envoûtante, et elle accumule des scènes souvent assez glaçantes.  

Victoria en plus donne tout son coeur à Fury from the Deep.  

Elle a toujours été un peu trop la demoiselle en détresse. Mais sa vulnérabilité marche de fou ici, et elle apporte énormément d’humanité au récit.  

“She can’t scream, sir.”

 

The monstrous algal pulse haunts a story that is very simple overall.

Here the sea is indeed really frightening, and when it turns against humanity, it is almost very Lovecraftian. But if the story is still too slow, it manages to be very captivating nevertheless, and it accumulates scenes that are often quite chilling.

Victoria also gives her whole heart to Fury from the Deep.

She has always been a bit too much of a damsel in distress. But her vulnerability works wonders here, and she brings a great deal of humanity to the narrative.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


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Review of The Web of Fear by Dogtor

17 November 2024

“Volunteer ? That’s a dirty word, that is.”

 

J’adore, mais j’ai des sentiments assez partagés. 

Même si c’est au final un épisode assez cliché (et problématique), la réal’ de Camfield fait du métro londonien un espace insondable et flippant, et le voir envahi de toiles d’araignée et de grosses peluches est vraiment magique même des décennies après.

Mais ce qui frappe en plus c’est son ton assez désespéré :  tout le monde est coincé face à une situation vraiment étrange et impossible. 

Mais du coup c’est tout le temps hyper tendu, et je peux carrément oublier les limites évidentes de l’exercice. 

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Review of The Enemy of the World by Dogtor

17 November 2024

This review contains spoilers!

 

“Me ? I’m the nicest possible person.”

 

Un chef d'œuvre. 

Whitaker se saisit de chaque ligne de dialogue et de chaque performance, pour raconter un monde de plus en plus complexe et étouffant. 

Son Salamander est en effet captivant. Mais même avec les combi’ moulantes et les coupes bizarres, il est surtout surprenant d’actualité.

Son monde est celui où un tyran prospère en effrayant les classes moyennes, et où la nature tue des millions de gens.   

Son monde est celui des Trump, des Le Pen, des Macron, et des Bolsonaro. 

Dieu ait pitié de nous. 

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Review of The Ice Warriors by Dogtor

17 November 2024

“What are your qualifications for existence ?”

 

C’est bien fait. 

C’est une autre base assiégée, mais je suis quand même assez friand de son world-building, et de son monde froid et dévasté. 

Mais comme l’humanité du futur a l’air ici un peu moins humaine, et que sa technologie est défiée par une nature plus que jamais hostile, toute l’histoire est bizarrement imprégnée d’un vrai sentiment d’urgence. 

Et la musique très hollywoodienne contribue en plus un peu plus assez fortement à ce sentiment.  

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Review of The Abominable Snowmen by Dogtor

17 November 2024

“I think this is one of those instances where discretion is the better part of valour”

 

Un arc lent (trop lent !) qui malgré ses méchants hyper cute, et une atmosphère tibétaine sympa, ne se contente que d’aligner les clichés les plus fastidieux d’un format déjà usé.  

Le pire, c’est que malgré un Travers somme toute assez attachant, on retrouve un peu les mêmes défauts que The Tomb of the Cybermen, mais étirés en six parties. 

Là aussi le trio central et les valeurs de production sont donc la grâce salvatrice d’un épisode fondamentalement mal foutu. 

Mais si c’est seulement ça qui sauve la saison, alors elle peut vite s’écrouler. 

“I think this is one of those instances where discretion is the better part of valour”

 

A slow arc (too slow!) that despite its cute yet mean villains, and a nice Tibetan ambiance, only manages to line up the most tedious clichés of an already worn-out format.

The worst part is that despite Travers being quite endearing, we find the same flaws as in The Tomb of the Cybermen, but stretched out over six parts.

Here too, the central trio and production values are thus the saving grace of a fundamentally flawed episode.

But if that’s all that saves the season, then it can quickly collapse.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).


Dogtor

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