# 58. Colony in Space

Jébienémélépizodmaizenfètnonpaskenfaitvoualamaismoaoizodenueuuozuoaodjeizjojijdoizje BON.

Il est temps, je pense, de faire une critique sur l’épisode qui m’a le plus mitigé de la série : Colony in Space. Parce que c’est tout con hein, mais le scénario ne me convient pas. Parce qu’en très gros, genre GIGA gros, il se résume à « Des gentils colons se battent contre des méchants… colons aussi mais mineurs, pendant qu’une autre race alien fait pas grand-chose ». Et en fait, dans cet épisode, j’ai beaucoup de difficultés à me voir dans chacun des camps. Si, peut-être Lethbridge-Stewart. Il est humain et ne fait qu’observer.

Mais quand l’un des camps est le camp qui colonise, qui envahit, et l’autre le camp qui colonise aussi mais pour « récupérer des ressources minières du coup ouiiii c’est des méchaaaants et gnagnagna » bah franchement les Aliens (qui même si ils ne font rien ne sont que les victimes d’une colonisation non voulue) est la meilleure issue.

Mais l’épisode est sympa, sinon, l’idée d’un Maître imposteur (comme on ne l’avait JAMAIS vu avant dis donc) est toujours une très bonne idée, l’histoire est bien menée, et le dénouement même si vachement rapide (« Dites, euh, bon, on a retrouvé votre TARDIS ! » « Ah super, il était où ? » « Quelque part, mais on s’en fout, non ? ») était rondement mené :D

Et puis bon, ça fait plaisir de revoir notre gros tas de cailloux de The Krotons ! Ah bah tiens, ça me fait penser à l’anecdote du gros tas de cailloux.

Quoi, je vous ai jamais raconté l’anecdote du gros tas de cailloux ?

Quand mon père était ado, il était chrétien pratiquant, et il a dû faire un voyage à Jérusalem. Un matin, il va au mur des Lamentations. Il ne connait alors RIEN au judaïsme et à l’Islam. Quand il va le voir avec un guide, le guide lui dit « Tu vois, ça c’est un grand monument… » et là mon père s’exclame : « QUOI ? Ce gros tas de cailloux, un monument ? » Et depuis mon père a plus le droit d’aller à Jérusalem.

C’était l’anecdote du gros tas de cailloux, c’est tout pour cette critique !