Review of The Web of Fear by Dogtor
17 November 2024
“Volunteer ? That’s a dirty word, that is.”
J’adore, mais j’ai des sentiments assez partagés.
Même si c’est au final un épisode assez cliché (et problématique), la réal’ de Camfield fait du métro londonien un espace insondable et flippant, et le voir envahi de toiles d’araignée et de grosses peluches est vraiment magique même des décennies après.
Mais ce qui frappe en plus c’est son ton assez désespéré : tout le monde est coincé face à une situation vraiment étrange et impossible.
Mais du coup c’est tout le temps hyper tendu, et je peux carrément oublier les limites évidentes de l’exercice.