“Isn’t it a better thing to travel hopefully than arrive ?”
C’est captivant au début, mais chaque partie est moins bonne que la précédente, et l’histoire (même avec quelques touches brillantes) est de plus en plus grossière et seulement élevée par les interactions très touchantes de Susan avec son grand-père.
Au fond c’est un épisode qui a de bons instincts. Susan grandit, et elle n'a jamais été aussi touchante que quand elle affronte la solitude et l’exil.

Mais c’est seulement (malheureusement) quand elle fait face à des aliens un peu neuneus dans un script dans l’ensemble assez médiocre qu’elle peut ENFIN avoir ce développement. D'un côté ça prouve à quel point les 60’s sont carrément en retard. Mais ça prouve aussi que Susan est à la fois l’une des compagnes les plus importantes et une de celles qui a subi le plus le sexisme qui imprègne en partie l'ère Hartnell.

“Isn’t it a better thing to travel hopefully than arrive ?”

It's captivating at the beginning, but each part is worse than the previous one, and the story (even with some brilliant touches) is increasingly crude and only lifted by the very touching interactions of Susan with her grandfather.

At heart, it’s an episode that has good instincts. Susan grows up, and she has never been as touching as when she faces loneliness and exile.

But it's only (unfortunately) when she faces somewhat silly aliens in an overall mediocre script that she can FINALLY have this development. On one hand, it proves how much the 60s are downright outdated. But it also proves that Susan is both one of the most important companions and one of those who has suffered most from the sexism that partly permeates the Hartnell era.

(Translation generated by AI, so mistakes are possible).